LA NOSTALGIE DE L'AVENIR
[extraits de presse]

Ce coup de force structurel s'appuie sur une direction d'acteurs magistrale (...) C'est la quintessence de Tchekhov que nous offrent Myriam Saduis et son équipe artistique. Une plongée grisante, déchirante, au coeur du continent non encore complètement exploré.
Le Figaro, Armelle Heliot  

Myriam Saduis transpose Kostia en un chercheur de formes nouvelles d’aujourd’hui, qui tente, ordinateur et images à l’appui, de trouver, par essais et erreurs, de nouvelles esthétiques qui peuvent toucher la sensibilité contemporaine. (...) Au total un spectacle à voir d’urgence : un régal, cette Mouette concentrée, intense, drôle et profonde à la fois. 
RTBF, Chtistian Jade 

Myriam Saduis adaptatrice et metteur en scène fait mise à jour sans altération du texte, pour aller à l'essentiel. (...) A fleur de peaux, les personnages, portés par des acteurs formidables sont désespérément humains, comme dans un film de Casavettes. (...) Au sortir du spectacle, il est 13h, le soleil cogne, Kostia est mort et on ne s'en remet pas.
Mediapart, Véronique Klein 

Myriam Saduis propose une "Mouette" originale, décapante, imaginative, sans pour autant trahir l’esprit du maître russe. (...) Avec des moyens sans commune mesure avec ceux déployés dans le In, Myriam Saduis signe l’une des plus fortes œuvres de ce festival Off d’Avignon.
Marianne, Jack Dion

Le rêve de Nina-la Mouette et de Kostia n’a pas d’âge, il est universel et éternel : vivre, c’est changer la vie. (...) L’adaptation de Myriam Saduis en apporte une démonstration qui fait mouche : le théâtre, c’est changer le théâtre. Le public qui se presse aux Doms est bon signe : espérons que cette « Nostalgie » ait de l’avenir.
L'Humanité, Charles Silvestre 

Si cette version nous séduit à ce point, c’est grâce à des comédiens d’une présence électrique.
Le Soir, Catherine Makereel   

(...) Aline Mahaux, bouleversante Nina entre fraîcheur naïve et folie, et Pierre Verplancken, Kostia incandescent. 
La Libre Belgique, Janvier 2012, Marie Baudet 

Myriam Saduis a osé une vraie réécriture dramaturgique pour livrer un spectacle sensible et palpitant. (...) Point de vue neuf, reconstruction habile, interprétation incandescente et retenue.
La Libre Belgique, Juillet 2012, Marie Baudet

(...) Ça commence par un coup de feu et ça finit comme un coup de fouet. (...) Myriam Saduis, en mêlant à Tchekov des fragments de Meyerhold, Philippe Roth, Monroe, Shakespeare et Racine, en projetant des extraits filmés magnifiquement, au cœur de la mémoire du jeune héros, nous plonge dans la solitude du créateur et l’accaparation de l’écriture. (...) Une œuvre magnifiée par une interprétation impeccable. Un grand sujet pour un grand récit.
CityLocalNews.com, Delphine Michelangeli  

Mise en scène remarquable avec six très bons acteurs; on adhère pleinement à ce très bon spectacle.
La Provence, Marie-Claude Bretagnolle

Une version intense et brûlante de "La Mouette" _ Disons-le d'emblée : c'est une magnifique équipe de jeunes comédiens mis en mouvement par Myriam Saduis, metteuse en scène en scène éclairée qui va nous entraîner dans les méandres de la passion.
La Marseillaise, Michelle Villon

Sans jamais trahir l’œuvre de Tchekhov, Myriam Saduis nous offre une puissante adaptation contemporaine de La Mouette (...)  Les acteurs sont tous bouleversants d’émotion et de sincérité, avec une mention spéciale pour Aline Mahaux qui incarne sublimement Nina.
Theatrotheque.com, Samuel Guillemin  

RECENT_ Agnus Satni pour La Terrasse, 21/02/2014
Primée en Belgique, saluée à Avignon en 2012, l’œuvre de Myriam Saduis prouve une fois encore que la puissance d’imagination des artistes est sans limites.
Et Tchekhov est un maître aux enseignements infinis !

RECENT_ François Micucci pour les Dernières Nouvelles d'Alsace, 11/02/2014
Pièce puissante et intrigante, La nostalgie de l’avenir sonde les âmes brûlées vives.
C’est un soleil noir qui s’est élevé sur la scène de l’espace Athic d’Obernai (...) Présentée en 2012 au Festival d’Avignon, la pièce prend les événements à rebours : tout commence par le suicide de Kostia, sombre et fragile. Les 120 minutes vont se concentrer sur l’implacable mécanique du désastre humain.

Resserrée autour d’une distribution de six comédiens, en permanence sur la corde raide, La nostalgie de l’avenir s’articule autour d’une succession de courts tableaux. Servie par des comédiens d’exception, la pièce gagne en finesse grâce à un jeu de lumières fin et subtil.

RECENT_ Dernières Nouvelles d'Alsace, 08/02/2014
Une nouvelle Mouette
Les spectateurs sont invités à remonter le temps via des enchaînements de flash-back. Mais jamais le spectateur ne se perd. (...) Dans un décor dépouillé, l’attention est entièrement portée sur les six comédiens dont l’interprétation captivante et juste fait de La Nostalgie de l’avenir bien plus qu’une énième adaptation de la célèbre Mouette.